Né de Nouveau !

Témoignage d'un ancien jésuite

Nous avons jugé opportun de reproduire ici cet article.Il se peut que nous ne partagions pas toutes les vues de l'auteur. Cet article n'engage que lui.

 

Qui arrivera à comprendre cela ? Aucun cerveau humain, aucune machine électronique aussi sophistiquée soit-elle ne pourra jamais en donner l'explication.
L'apôtre Paul dans son épître aux Corinthiens 2.29, dit :

" mais comme il est écrit, ce sont des choses que l'oeil n'a point vues, que l'oreille n'a point entendues et qui ne sont point montées au coeur de l'homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l'aiment ".
L'apôtre Jean dans son 3ème chapitre nous rapporte un entretien de Jésus avec un chef d'église du nom de Nicodème.

Jésus lui dit " en vérité, en vérité je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu "
Nicodème, membre du sanhédrin donc prêtre savant et haut placé dans le gouvernement religieux, qui malgré son haut niveau intellectuel lien comprenait absolument rien, a en juger selon la réponse qu'il donna au Seigneur.
Mais de ce fait, Jésus aurait-il inventé et ordonné aussi solennellement quelque chose d'irréalisable ? Inexplicable, oui, mais non irréalisable. Incompréhensible pour toute chair humaine, mais accessible à tous les hommes acceptant la sagesse de Dieu.

Comment le cerveau de l'homme enfermé dans sa boite crânienne et pesant quelques centaines de grammes peut-il pénétrer dans l'esprit de Dieu qui créa tout l'univers ? Toutes les intelligences du monde réunies, ne pourront jamais théoriser la nouvelle naissance.

Selon le chapitre 11 de l'évangile de Mathieu au verset 25, ces choses sont cachées aux sages et aux intelligents, mais révélées aux enfants, et l'apôtre Jean nous dit dans son 1er chapitre: " que tous ceux qui ont acceptes la lumière sont devenus enfants de Dieu ".

Quelqu'un demanda au grand prédicateur du siècle dernier, Wesley, pourquoi il prêchait toujours sur la nouvelle
naissance; le saint homme répondit "parce qu' il vous faut naître de nouveau"

Dieu a dressé un obstacle infranchissable et hermétiquement clos a tout raisonneur scientifique, fut-il, le plus grand savant, fut-il mathématicien, académicien ou religieux.

La nouvelle naissance est une expérience et non une science. C'est voulant scientifier la Parole de Dieu au jardin d'Éden, que toute l'humanité a été perdue.

Si le mur de la nouvelle naissance limitant implacablement le pouvoir de l'homme, en interdit l'accès aux grands de ce monde, il n'en est pas de même pour les humbles à l'intention desquels Dieu a prévu une porte étroite. Mais le seuil de cette porte est seulement franchissable lorsqu'une autre porte, celle du monde a été solidement verrouillée derrière soi.

Une foule très nombreuse se trouve comme enracinée sur le seuil de la nouvelle naissance. S'agrippant désespérément à cette porte qui ne veut pas s'ouvrir, ils ne peuvent franchir le seuil étant trop chargé du fardeau de leur religion héréditaire, la crainte de perdre leur renommée, la crainte de leur avenir terrestre, crainte de décevoir leur monde ou leurs églises, crainte d'un échec sur leurs ambitions. En un mot, ils ne veulent pas fermer la porte du monde derrière eux.

Si dans un grand immeuble tour, quelqu'un a laisse la porte du lift ouverte, les autres usagers de l'ascenseur resteront sur le palier. Tel le jeune homme riche de l'évangile de Mathieu au chapitre 19 retournant tristement vers ses biens, ainsi ces âmes restent dans une profonde tristesse mêlée d'envie, bloquées entre deux portes, regardant d'autres âmes qui joyeusement avec des chants d'allégresse entrent triomphalement par la porte étroite du Seigneur

Jésus le christ dans la vie éternelle, cessant d’être une promesse, étant devenu un glorieux accomplissement car, tout est accompli.

Par une grâce spéciale de la part du Seigneur, et malgré mes multiples révoltes et rejets de Son amour, par Sa saintepatiente incommensurable, le Seigneur a malgré tout voulu que je sois né de nouveau. Oui, je suis

Né de nouveau.

De très longues années de discipline sévère de La religion firent de moi un athée du dernier ressort. Les règles strictes de l’ordre me furent imposées à très forte dose du matin au soir et même pendant la nuit, et ceci dès mon enfance. II est vrai que je vivais intensément les rites, les processions et les cérémonies et récitai de longues prières des heures durant. Ce furent alors ma seule consolation et espérance clans ce monde.

Cette vie eut été humainement acceptable s’il n'y eut d’autres pratiques allant à l’encontre et, finalement, s’opposant au premier. Acceptable également si l’attitude générale n’eut été incompatible avec I’enseignement. Hélas ! Celui-ci laissait beaucoup à désirer.

Dans l'ordre des choses de cette étrange vie entraient paradoxalement les pratiques normales, des coups, flagellations, humiliations et homosexualité.

Si ces abominations sautent aux yeux de quiconque et heurtent, il n’en va pas de même lorsqu’elles sont greffées dès la prime jeunesse, là, elles ne se révèlent que très vaguement et par petit peu à La fois. Voilà en quoi, dans cette éducation, se révéla en fin de compte dans mon esprit, le Nom de Dieu qui se réduisit à « Le Bon Dieu »

Jésus-Christ, un Nom usé représenté par un crucifix pendant au bout du chapelet, et tous les saints, qui selon cet enseignement étaient tous passes par les mêmes tribulations et qui, en couronnement furent canonisés, glorifies par le chef suprême terrestre de la chrétienté, Sa Sainteté le Pape.

Avec le recul je me rends compte de ce que j’étais dans un

Curieux état car, en regard, je n'ignorais pas l’évangile, bien loin de là, plusieurs fois par jour j'en récitais de longs passages ainsi que des psaumes en latin.

Le jour ou le Seigneur me libéra de tout cela, je ne Lui en manifestai aucune gratitude. C'était paradoxe ! parce qu’au fond de moi-même, j'en avais une indubitable connaissance, mais j'en étais saturé au point de ne plus en vouloir. Je me sentais très fort, m’étant affranchi de tous les liens de cet esclavage. Je n’avais d’égard pour rien ni personne, à l'exception de ce qui était" MOI" il n'était plus du tout question qu'on me parla de religion ni du "Bon Dieu" Pour moi tout cela était bien fini, raturé. J’étais convaincu d'en savoir plus que quiconque.

Un jour, Un ami ouvrier qui depuis est devenu pasteur et qui est pour moi un ami fidèle, voulut m’offrir un Nouveau Testament. Je lui refusai dédaigneusement. Ce n'était plus à moi qu'il fallait faire une telle offre. J’en étais excédé. En avais-je récité des chapitres entiers en Latin et par coeur! Mais ce gentils camarade, persévérant insista me démontrant tout l'intérêt des annotations complémentairement dans cette édition et je finis par consentir à accepter.

Il s'était rendu compte de ce qu'en fait, j'ignorais la profondeur de ce que, à l'égal d'un perroquet docile, j'avais récité ainsi parce que c’était la règle imposée. Grâce à sa sollicitude, la lecture de cet ouvrage me fit bien découvrir ce qui est faux dans la religion, ses multiples erreurs, sans cependant en déceler le vrai. Dès lors, II n'y avait rien à changer dans ma conduite et mon dédain pour la religion s'en trouva d’autant plus affermi.

Je ne puis pas dire que le Nouveau Testament traduit par Louis Segond, avec annotations de Ferd. Faivre, que m’offrit I’ouvrier Marcel Robin actuellement pasteur, m’apporta beaucoup de clarté. Je me limitai à en étudier les notations concernant les erreurs démagogiques religieuses, mais rien de plus. 11 me sembla inutile d'étudier ou de lire les évangiles que déjà je connaissais et qui à l’exception des remarques aux bas des pages, me semblèrent êtres identiquement les mêmes. Dieu. Jésus-Christ, christianisme, politique, religion, le monde, les gens, les erreurs, tout cela se rencontre dans le même kaléidoscope.

Ce n’est que l’événement du 1er juillet 1959 qui en fit crever le cylindre c’était tellement dépourvu de tout sens pour mol et c’est pourquoi je fuyais le monde et m’enfermai dans ma tour d’ivoire, solidement entoure de la muraille imprenable de mon incrédulité, bannissant toutes les lois.

Bien des années plus tard, j'arrivai à comprendre les erreurs de la religion et à les comparer avec les erreurs humaines dont je faisais les frais. Libéré en 1945, ceci contre toute espérance, du bagne nazi de Butzbach par la 9ème armée américaine malade de dénutrition, je fus brutalement jeté en prison en rentrant au pays, étant soupçonnéd'incivisme. Selon le registre de la population man cadavre fut paraît-il, trouvé criblé de balles à l'arsenal de Toulon en août 1942, lors de l’occupation de la France pétiniste.

Des lors, tout me sembla être désespérément vain et poursuite du vent dont faisaient parties les Impérieuses TRADITIONS? Oh non, je n'en veux pas du tout à mes maîtres éducateurs et professeurs qui ont fait de leur mieux pour m’enseigner leur ignorance.

Puis, peu à peu, peu le moment où j'eus le sentiment qu' il devait bien exister un autre Dieu que celui de la religion, qu' il devait y avoir une autre vérité un curieux dualisme s’installait en moi, au fur et à mesure de mes méditations.


Progressivement j'eus le pressentiment croissant de l'opportunité de l'étude de ce Nouveau Testament, particulièrement dans les instants où la vie glisse vers une impasse. Effectivement, jour après jour, je me rendais compte de ce que ma manière de vivre m'entraînait dans des situations de plus en plus graves.

Cette lutte fut très âpre, très longue. Elle s'étendit sur de très longues années. A chaque palier dangereux j'ignorais Dieu dans mes actes, mais je L'implorais simultanément dans ce pathétique dualisme. A chaque fois le Seigneur eut quand même pitié de mol et me sauvait par des moyens qui Lui sont propres, mais, une fois l'orage passé, j'oubliais mes engagements et retournais aux mêmes égarements.

Arriva ce 1er juillet 1959, un malheur beaucoup plus angoissant encore que les précédents m'accabla. Cette fois il s'agissait d'un drame tel qu'il ne permettait ni lueur d'aucune issue, ni d'aucun espoir. Des jours et des nuits je pleurais et hurlais ma détresse. Nul n'était a même de me secourir. Ma situation devenait implacablement tragique. Toute tentative de réconfort était irrévocablement inutile. Il était humainement impossible d'entrevoir une évolution. Le suicide même n'était pas possible.

J'endurai ce calvaire tout un mois. Finalement épuisé, vidé en un total désarroi, convulsivement je me jetai a genoux et criai a Dieu:
""si vraiment Tu existe, révèle-Toi à mol ! ""
"cette fois définitivement je me conformerai a TA VOLONTE "et instantanément le miracle se produisit. Il n'y eut pas une seconde d'intervalle;
mais, non pas ainsi que je l'eus souhaité.

Mentalement surgit devant moi le miroir de SA LOI A mon effroi j'y lut toute la liste longue, longue de mes multiples transgressions, révoltes et constants refus.

Une insoutenable vision hideuse fut celle de réaliser brutalement la nudité de mon âme et soudain, mon affliction prit une tout autre forme, celle, non plus du désespoir sans issue face aux événements ; mais bien celle de ce que j'en étais, réellement et par suite de mon infidélité envers le Seigneur, l'unique artisan et ceci sans complaisance. J'étais faux, hypocrite, menteur et idolâtra pécheur contre tons les commandements.

A ce moment j'avais cru avoir atteint l'extrémité de mes revers; mais cette nette implacabilité du miroir de ma vie me démontra qu'il y avait encore un sous-sol que mon orgueil ne m'avait pas permis de soupçonner.

Jusqu' alors j'avais accuse plusieurs personne d'être la cause de mes tribulations mais le divin miroir me démontrait que j'étais sans aucune excuse en étant moi seul et rien que "moi seul" le véritable artisan de ce qui m'arrivait. Et ce fut bien plus terrifiant encore lorsque, fulgurante, en esprit, m'apparut la CROIX et le visage tuméfié, presque inhumain de Jésus, tout maculé de sang coagulé et de poussière. Je crus défaillir lorsque retentit dans mon âme ce cri :<<Tout est accompli....... Je me tiens a la porte et je frappe. N'endurcis plus ton coeur comme lors de tes révoltes>>

Sur le champs, mon optique des faits se transforma radicalement. Pratiquement ils étaient toujours là, au même point, mais ils avaient changé de plan! Tout-à-coup c'était comme s'ils se dissolvaient telle la neige au soleil , neige qui disparaissait dans la mer. Cette transformation là demeurera toujours incompréhensible pour moi.

C' est le secret du Seigneur. Oh alors, avec quel empressement ai-je reçu Jésus comme mon Sauveur. Pour la première fois j'ai compris que c'était aussi pour moi que Jésus, le Christ, avait été sacrifié.

Enfin je comprenais que la FOI DANS LE christ n'était pas une religion ni une politique mais bien une vie.

Il l'a dit LUI-MÊME : "Je suis le chemin, la vérité et la vie".
Jean 14.26

Chaque mot résonna dans mon coeur comme autant de salves de triomphe sur la mort.

Je passai de la mort à la vie. Je ne sais combien de temps je suis resté dans l'adoration dans la joie, à genoux. Enfin pour la toute première fois je saisissais ce que Jésus avait endure sur la CROIX - pour moi, pour mon péché. Tous les versets y ayant trait dans le Nouveau Testament se précipitaient dans ma mémoire en une avalanche de lumière. Là il n'y avait rien de cérémonial.

Chers lecteurs, autant étais-je dans un profond désarroi, dans un insondable abîme, autant brusquement, je me sentais irrésistiblement propulsé vers une indescriptible joie. Oui, de l'abîme je m'envolais. Enfin j' étais NE DE NOUVEAU.

Un autre changement se produisit également. Je ne pouvais plus me taire. Il y a à présent 25 ans de cette mémorable minute qui fut tellement radicalement décisive dans ma vie.
Le tournant était bien franchi et depuis lors je suis entièrement au service du Seigneur, mon Maître Divin. Je ne puis plus m'empêche de L'annoncer; de faire connaître Sa Parole en toutes occasions favorable ou non. J'ai une telle conviction, que toujours il en restera une trace opportune dans la vie de ceux qui l'auront ouïe en prêchant l'Évangile de l'EXPÉRIENCE, en langue vivante, celle de la Pentecôte, qui n'est plus la langue morte qu'est devenue le latin ce langage de Dieu, doux comme un murmure et qui s'adresse au coeur et à l'esprit de chacune de ses créatures, de celles qu'Il a façonnées a Son image.

A maintes reprises peut-être avez-vous distraitement entendu la voix du Seigneur au cours de votre terrestre route qui peut, être longue ou peut être abrégée. Oh chers lecteurs, ne suivez jamais l'exemple de la description pathétique de cette page de ma vie. N'attendez pas que le sol se dérobe sous vos pas.

Plusieurs fois sans doute l'appel du Seigneur vous à été adressé. Vous avez répondu "Oui d'accord, mais pas maintenant, je n'ai pas le temps, ou encore j'ai ma religion, cela me suffit". Chers amis, la FOI est un DON de Dieu et elle n'est nullement biologique! La FOI ne peut être héritée. Il se peut que vous vous soyez dit "je ne fais de mal à personne".

C'est bien ce que, mol aussi, je m'étais dit mais le Décalogue, un implacable miroir, me montra bien le contraire. Peut-être vous êtes-vous dit également "que diront ma famille, mes amis, mes voisins ?" La Bible nous démontre qu'ils sont tous dans la même situation que vous-même, et que tous, tout comme vous, ont besoin d'être sauvés, car tous ont péché et sont privé de la gloire de Dieu".

Chers amis, maintes fois Dieu s'est manifesté dans votre vie, souvent vous avez reçu Son message. Soyez conscients que chaque parole que vous avez entendue est un dépôt sacré que le Seigneur vous a confié et dont vous demeurez responsable.
Par la plume du prophète Esaie au chapitre 55.11, Dieu dit : "Ainsi en est-il de Ma Parole qui sort de Ma bouche; elle ne retourne point à moi sans avoir Son effet, sans avoir exécuté Ma volonté et accompli Mes desseins".

L'appel de Jésus s'adresse à chacun de nous personnellement. Il devient de plus en plus pressant si nous comprenons bien l'évolution des événements et, parfois, suivant ceux de notre vie.
Chers lecteurs, demandez au Seigneur cette grâce de vous accorder le don de repentance; de cet examen sans complaisance de votre réalité et Il vous éclairera. Vous ressentirez alors, l'heureuse transformation; la libération des chaînes rejetées, qui vous conduira dans la NOUVELLE NAISSANCE, et lavé de toute iniquité.

Aujourd'hui encore cet appel s'adresse à tous, nul n'en est exclu, ni même les membres d'une église, car il faut que vous naissiez de nouveau. Le fait d'aller régulièrement au temple ne vous transforme pas en chrétien, comme entrer dans un garage ne fait pas de vous une voiture.

Vous qui restez désespérément sur le seuil de la porte, priez ardemment le Seigneur qu'Il vous éclaire sur la raison de ce blocage.
Il se peut qu'un péché reste solidement accroché à votre coeur et que vous pensez ne pas pouvoir l'abandonner.
Venez à Moi vous tous, dit le Seigneur, qui êtes chargés et fatigués.

Peut-être y-a t-il quelqu'un dans votre assemblée que vous ne pouvez supporter, ne l'aimant pas, cela arrive. Il se peut que cette personne suit née de nouveau et dans laquelle vous cherchez des faiblesses sans vouloir lui en parler. Avant de déposer votre offrande allez d'abord vous réconcilier avec votre frère ou votre soeur; faites lui remarquer la paille que vous voyez dans son oeil, peut-être que vous découvrirez une poutre dans votre oeil, vous barrant tout l'horizon de la vie nouvelle.
J'ai moi-même participé à une réunion de prière ou j'aperçus clairement une émanation de haine se dégageant d'un membre de cette petite assemblée, bien que cette personne fût de vielle souche chrétienne et un pilier dans son église.

Prions pour ces personnes, qu'elles puissent confier leur joug au Seigneur qui appesantit si lourdement leurs pas afin qu'ils puissent prendre leur envol aussi léger que l'aigle vers la vie nouvelle

Qui que vous soyez, quel que soit le poids de votre fardeau, venez dit Jésus, venez à Moi. Gens honnêtes ou brigands, le Seigneur vous appelle;

Pasteur ou fidèle, criminel derrière les barreaux ou assassins aux mains libres venez, venez, car Jésus a dit

"Je ne rejetterai pas celui qui vient à Moi".

Maintenant , en ce moment, le Seigneur vous adresse une fois de plus Son appel. Maintenant, à nouveau, Il frappe à la porte de votre coeur, et vous demande de pouvoir entrer. Dans cette demande, ce n'est plus l'homme qui prie Dieu, mais! Oh ! Mystère insondable, c'est Dieu qui prie l'homme !...... mais..... peut-être, aussi est-ce la dernière fois ?

Amen.

Paul Blomme

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